Sur le Belem, il y a même deux hélices. Donc deux moteurs. Le plus grand trois-mâts français a besoin du vent de cale pour les calmes – et les manœuvres de port. Or, les anciens Iveco de 275 chevaux viennent de faire place à deux John Deere de 500 chevaux. Mais les hélices, elles, restent. Afin de marier correctement le tout, un technicien est venu modéliser en 3D l’hélice tribord, à l’aide de pastilles-repères et d’une caméra à trois objectifs. De quoi dessiner le visage des pales. / H.H.